(lavoine/aboulker)
Relax tellement relax
Etendu détendu
Pas de téléphone ou fax
Pas de malentendu
Sur le dessus du lit
Je suis à ta merci
Et s’il est trop petit
Glissons sur le tapis
Pépère tellement pépère
Pas pressé d’arriver
Se laisser la rivière
Gentiment déborder
Nager c’est magnifique
MÃme s’il y a qu’ l’océan
Qui reste pacifique
Et pas pour très longtemps
Reste sur moi
Que je respire avec toi
Reste sur moi
Que je respire avec joie
Tranquille tellement tranquille
Enchainé dechainé
Fondu au noir des villes
Ou au blanc des années
Le souvenirs-parfums
Jamais ne s’évaporent
Nos transports en commun
Sont de plus en plus forts
Peinard tellement peinard
Que c’est facile à dire
Que c’est joli à voir
Parler et puis pâlir
On aimerait que ça dure
Ce petit val qui mousse
Comme un coin de verdure
Comme une chanson douce
Couché tellement couché
Si l’on prenait la pose
Pour la postérité
Viens qu’on se superpose
Rester très loin du reste
N’avoir aucune idée
Ce qui compte, c’est le geste
Auguste de s’aimer
Bateau tellement bateau
Mais tellement cool
Nos draps sont nos drapeaux
On est bien dans notre peau
J’ai pas de parapluie
Pour le temps qui s’écoule
Enfants du paradis
Emportés par la houle
Refrain