(barbelivien/bernheim)
Entrer dans la lumière
Comme un insecte fou
Respirer la poussière
Vous venir a genoux
Redécouvrir ma voix
En Ãtre encore capable
Devenir quelquefois
Un rÃve insaisissable
Toucher des musiciens
Sourire à des visages
A quatre heures du matin
N’Ãtre plus qu’une image
Etre là de passage
Sans avoir rendez-vous
Avoir tous les courages
De me donner à vous
Et vous laisser venir
Comme un amant magique
Et vous ensevelir
Sous mon cri de musique
Entrer dans la lumière
Comme un insecte fou
Respirer la poussière
Vous venir a genoux